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De
la Barre au
Barreau
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Livre
de Roger VIGNAUD
"De
la Barre au Barreau" relate le parcours d'un
jeune mousse devenu avocat.
Ce parcours c'est le mien. J'ai en effet
effectué six ans années dans la
marine nationale de 1975 à 1981. J'ai
d'abord fait l'école des mousses (1975-1976)
puis j'ai embarqué comme missilier sur les
rafiots suivant : la Durance, l'Enseigne
de vaisseau Henry, le Trieux, le
Protet et l'Alençon. J'ai
terminé comme
chouf.
En
1981, j'ai posé mon sac et suis devenu
ouvrier à l'usine. Pas folichon ! Alors j'ai
entrepris des études, cela n'a pas
été facile, mais à l'âge
de 30 ans je suis devenu avocat (1992) ; quelques
années plus tard, je me suis mis à
écrire, d'abord deux livres d'histoire, et
ensuite deux
biographies.
Il
était temps, désormais, à 51
ans, de raconter mes années dans la marine,
de parler de la vie à bord, des escales et
de mes campagnes dans l'océan indien (6
mois) et le Pacifique (2 ans). Mais aussi de
retracer ce parcours quelque peu atypique. C'est
ainsi que "De la Barre au Barreau" est
né. Il est sorti cet été 2010,
grâce aux Presses du Midi, un éditeur
de Toulon.
Vous
pouvez le commander par internet sur le site de la
FNAC ou directement par l'intermédiaire de
l'éditeur sur son site www.lespressesdumidi.fr
ou encore dans toutes
librairies.
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Résumé
: A l'âge de 16 ans, l'auteur
rejoint l'école des mousses de la
marine nationale. Six ans plus tard, il a
navigué sur tous les océans,
découvert la Polynésie... Et
Tahiti ! Le paradis offert, l'indolence de
la vie au naturel. Mais aussi,
virilité oblige, le piètre
réconfort des amours de passage...
Mais quand la bière coule à
flots le risque est grand de céder
à la facilité
chimérique de l'amie
maléfique : la dive bouteille. Et
la descente aux enfers n'est pas loin.
Alors, un jour, c'est l'adieu à la
mer. Comme on quitte une vieille amante,
il la quitte sans se retourner. Il devient
manuvre, ouvrier
sidérurgiste, ouvrier dans le
pétrole
L'univers
qu'adolescent il voulait fuir se refermera
comme un piège. L'usure
prématurée des corps et des
consciences, l'asservissement à la
rentabilité, la parole
opprimée, la désillusion
syndicale... L'horizon
hermétiquement clos. L'usine le
véritable enfer. Alors une fois
plus, Roger songe à partir. Et
l'impensable se produit ! Il entreprend
des études à marche
forcée... !
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Ensuite,
tout ira très vite. Jusqu'au jour,
où, le petit mousse amoureux des
mers du Sud, l'ancien ouvrier en bleu de
chauffe, drapé d'une robe noire
d'avocat, prête serment de
défendre les sans-grade. En un
flash-back, il revoit le fil de sa vie, et
le vertige le prend : de la barre au
barreau, en passant par l'enfer de
l'usine, qu'il fut long le chemin
jusqu'aux marches du palais
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